L'avenir de self-Learn

Comme il est clairement indiqué que le faible niveau de qualification est une préoccupation à l'échelle de l'UE et que le Conseil a élaboré le plan d'action en conséquence, l'idée de self-Learn est valable dans toute l'UE ; Compte tenu également des données de l'UNESCO, le faible niveau de compétences des adultes a un impact négatif sur l'économie mondiale. l'outil self-Learn sera développé dans les langues des partenaires au cours de cette phase pilote de 2 ans ; il sera ensuite étendu pour couvrir de nouvelles langues de l'UE (et/ou du monde), ainsi que d'autres niveaux PIAAC (niveau 3-4-5) dans les prochaines années, sur la base du fait que l'outil self-Learn est « extensible » ; en ajoutant du contenu converti dans les nouvelles langues ainsi qu'un enrichissement supplémentaire du contenu, parallèlement à la fonctionnalité « extensible » de l'outil. Étant donné que cela nécessitera relativement moins de financement, cela est réalisable au moyen de projets à plus petite échelle (même bilatéraux) ou de tout autre financement externe/propre, si self-Learn crée un impact planifié/souhaité/attendu, une prise de conscience résultante et, en parallèle, attire l'attention. pour l'investissement supplémentaire dans de nouvelles versions linguistiques.

En tant que projet/idée marathon, self-Learn; il prévoit de continuer à développer et à diversifier le contenu, les utilisateurs finaux et les taux d'exploitation seront mesurés électroniquement et la comparaison des évaluations pré/post permettra de visualiser l'impact sur les utilisateurs finaux, en particulier à court terme. L'objectif est que 70% des utilisateurs puissent se perfectionner, à court terme, sur la base de testeurs adultes peu qualifiés pendant la phase de test du projet.